Pascal nous emmène sur un point de vue situé au dessus du musée de la ville. Pour y accéder, nous empruntons une piste cabossée et très chaotique.
Après une dizaine de minutes, nous arrivons sur une petite plate forme d’où nous pouvons avoir un aperçu de la ville. Nous profitons du panorama pour faire les premières photos, mais cela ne nous réjouit pas plus, il ne fait pas beau, le temps est très couvert et ce que nous voyons nous interpelle, Bamako est immense, et il nous semble que rien d’extraordinaire ne nous retient le regard.Nous rebroussons chemin, et après quelques tours dans les latérites de la ville, quelques passages devant des « espèces de marchés », nous découvrons que tout est toujours plus sale au fur et à mesure que nous avançons. Dans la ville beaucoup d’immeubles sont en construction, en fait, il nous semble qu’une guerre vient de se produire tant l’aspect des infrastructures est délabré.
Pascal nous ramène à la villa, nous sommes crevés, sans voix et quelque peu anesthésiés.Après un diner léger nous allons nous coucher.